Fahima Hashim

Les féministes africaines

Depuis 1998 J'ai eu beaucoup de sensations d'inconfort et un sentiment de malaise en moi des choses autour de moi; J'ai été incapable d'énoncer ou de le classer et donc incapable d'analyser ou d'y faire face. Ma compréhension des concepts de genre toutes ces années n'a jamais été lié au féminisme ou même un […]

Depuis 1998 J'ai eu beaucoup de sensations d'inconfort et un sentiment de malaise en moi des choses autour de moi; J'ai été incapable d'énoncer ou de le classer et donc incapable d'analyser ou d'y faire face. Ma compréhension des concepts de sexe toutes ces années n'était jamais liée au féminisme ou même une idée claire du Patriarcat. Je connaissais la construction sociale du genre mais a jamais approfondi cette compréhension à le lier avec notre vie quotidienne. La même année, j'ai assisté à un atelier intitulé "sexe et durable développement en Asie du Sud". L'atelier a été organisé au Bangladesh avec 30 des militants et des formateurs de sexe de différents pays en Asie du Sud. Comme je suis passé par la formation les concepts ont commencé à s'emboîtent comme la tarte- ces d'un puzzle. Il m'a permis de trouver la langue en moi, que j'avais été incapable de définir; la langue des concepts du Patriarcat, genre et féminisme. Lentement, j'ai commencé à voir des liens et des connexions entre mes expériences et de la théorie de féminisme.

Cette formation a contribué à façonner une nouvelle auto, qui était le plus fort, plus clair et plus attaché à la nature du travail, que j'ai envisagé de me faire, ainsi que le genre de femmes/personne j'ai voulu être. Je suis allé à la maison avec une nouvelle vision, connaissances et mon identité féministe. Je savais qu'il serait très difficile d'être une féministe, mais j'ai aussi sont rentrés avec la satisfaction de savoir ce que je voulais et ne compromettait pas. J'habite dans l'Etat de Khartoum, la capitale du Soudan. Je travaille comme Resource Centre directeur de Salmmah féminin, un centre de ressources féministes qui milite pour les droits de l'homme, juridique de la réforme et contre la violence contre les femmes, effectue des travaux de recherche d'action autour de la sexualité, droits de reproduction, et documentation du mouvement des femmes soudanaise. Nous travaillons avec des hommes et jeunes femmes, Bien que notre objectif principal est de femmes qu'elles soient jeunes ou vieux.

Je crois que chaque numéro est question de la femme, et que le personnel est politique. Donc mon combat politique contre le patriarcat comprend toutes les questions qui nous touchent. La lutte pour l'égalité pour tous est mon engagement de vie personnelle ainsi que mon engagement de travaux. C'est pourquoi je me nomme une féministe.

Nous sommes tous conscients des nombreux défis interdépendants qui portent atteinte à l'égalité. La mondialisation et la résultante féminisation de la pauvreté, montée de la violence contre les femmes dans toute l'Afrique, plusieurs des discriminations et des normes sociales biaisées, et le fondamentalisme qui que contribuent tous à ce. Malheureusement nous manquons également les gouvernements africains qui sont sensibles aux femmes et aux questions féminines.

Il est essentiel de garder des espaces Organisation telles que le Forum féministe africaine où nous pouvons se réunissent et liaison avec les autres féministes en Afrique. Il est si puissant.


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Le « projet Ancêtres féministes africaines » vise à documenter l'histoire riche des luttes des femmes africaines pour l'autonomie et le changement. Cliquez sur le bouton ci-dessous si vous souhaitez contribuer détails d'une féministe Ancêtre africaine à ce projet.

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